Mark of the brotherhood –
La réussite de Spartacus dans l’arène fait la fortune de Batiatus qui s’empresse de trouver des nouvelles recrues au nez et à la barbe de son rival.
Je ne cesse d’être surpris par le nombre de personnes qui me parle de cette série. On peut légitimement se demander comment une série historique, passablement gore et parfois aux frontières de la série B (peu de décors, effets visuels grossiers) captive un aussi large public.
Plus que le thème des gladiateurs, je pense qu’il faut en chercher la raison dans la mise en valeurs des corps, a la fois masculins et féminins. La série est finalement un cadre parfait pour montrer des corps atlétiques et d’afficher les pulsions qui en découlent de manière assez primaire. Certains pourraientt être tenté de dire que la série est tout simplement racoleuse mais tout est fait si naturellement qu’on arrive assez difficilement à développer l’argument.
Visuel : Spartacus Blood & Sand / Starz