ABQ –
Fin de deuxième saison (je suis très en retard car la quatrième débute ce mois-ci) et l’on apprends enfin pourquoi on avait droit à des introductions sur la piscine et des objets partiellement calcinés en flotaison… il s’agissait bien sur d’un Flash Forward à l’échelle de la saison.
Malgré le parcours illégal plutôt réussi de Walt, tout se termine de manière plutôt dramatique et la maitrise de la cascade d’événement est le gros point fort de cette série.
Le bilan est donc très brillant : impeccablement réalisé avec des décors toujours très beaux (y compris lorsqu’il s’agit d’ambiances assez glaucques), le casting est juste parfait, Bryan Cranston porte la série de manière assez magistrale. Le sujet se confirme comme difficile avec une approche de la drogue transversale et toutes les conséquences que cela suppose. Ajouté à cela, une mise en scène qui néglige l’action facile et vous obtenez une oeuvre qui ne plaira pas à tout le monde mais que je place dans mon top5 des séries « totales » concept obscur que je définis par la présence d’un créateur (en l’occurence Vince Gilligan) qui jouis d’une liberté totale pour mener à bien son projet…
Allez, vivement la suite !
Visuel : Breaking Bad / AMC