Pour illustrer ce post sur la série anglaise Luther, j’ai choisis une image assez représentative de la direction choisie pour la mise en scène. En effet, les acteurs apparaissent souvent décadrés (dans les coins inférieurs) au milieu d’une ambiance brumeuse à faible contraste.
Mais passons tout de suite à la musique avec ce morceau de l’australienne Sia qui accompagne la fin de cet épisode :
Dans mon premier post sur la série, je parlais de l’acteur principal, Idris Elba, fraîchement récompensé d’un Golden Globe. Mais alors que j’approche de la fin de cette première saison, je crois que qu’il faut surtout rendre hommage au créateur de la série, Neil Cross, qui avant d’écrire pour la télévision est un romancier à succès.
Avec des saisons ramassées (6 épisodes pour la première et 4 épisodes pour la seconde), il est intéressant de voir que la BBC présente Luther comme une mini-série alors que les intrigues se découpent par épisodes (on parle alors du genre procédural). Hormis les enquêtes qui sont effectivement inscrites dans les limites de l’épisode, le parcours de l’anti-héros est à l’échelle de l’ensemble et propulse Luther dans un statut hybride.
Après le final de ce cinquième épisode (je ne vais rien révéler ici !), je peux affirmer que c’est le récit qui fait toute la force de cette série. Les lignes bougent, et l’on prend conscience que les personnages principaux ne sont pas inamovibles !
Et puis le talent de Neil Cross (qui signe l’écriture de tous les épisodes) est de fournir des trames parfaites que ce soit pour les enquêtes courtes ou pour l’arc principal !
Avec des saisons ramassées (6 épisodes pour la première et 4 épisodes pour la seconde), il est intéressant de voir que la BBC présente Luther comme une mini-série alors que les intrigues se découpent par épisodes (on parle alors du genre procédural). Hormis les enquêtes qui sont effectivement inscrites dans les limites de l’épisode, le parcours de l’anti-héros est à l’échelle de l’ensemble et propulse Luther dans un statut hybride.
Après le final de ce cinquième épisode (je ne vais rien révéler ici !), je peux affirmer que c’est le récit qui fait toute la force de cette série. Les lignes bougent, et l’on prend conscience que les personnages principaux ne sont pas inamovibles !
Et puis le talent de Neil Cross (qui signe l’écriture de tous les épisodes) est de fournir des trames parfaites que ce soit pour les enquêtes courtes ou pour l’arc principal !
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Je n’irai pas plus loin pour l’instant car j’ai déjà en tête un texte un peu particulier qui fera un tour complet de cette première saison, mais en attendant, si vous n’avez pas encore découvert les aventures du DCI John Luther, Foncez !
Je n’irai pas plus loin pour l’instant car j’ai déjà en tête un texte un peu particulier qui fera un tour complet de cette première saison, mais en attendant, si vous n’avez pas encore découvert les aventures du DCI John Luther, Foncez !
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Visuel : Luther / BBC
Visuel : Luther / BBC
Musique : Sia « breathe me » (Album : Colour the small one – 2004 Go! beat Rec.)