On avait un peu laissé de côté l’une des rares comédie que nous suivons régulièrement cette année, mais ne vous y trompez pas, New Girl continue de souffler un vent nouveau sur le genre !
J’en profite pour préciser que l’on a appris qu’elle était renouvelée et connaîtra donc une seconde saison.
Avec un personnage principal (Jess) constamment en décalage au milieu de trois trentenaires ordinaires, on pouvait se dire qu’il y avait ici une originalité dans un genre où les caractères des comédiens sont souvent forcés à l’extrême pour faciliter l’humour.
A mi-saison dépassée, on s’aperçoit que les trois garçons en question ne sont plus tout à fait si simples.
Si Schmidt apparaît très vite comme un pendant masculin mais non symétrique à l’étrangeté du personnage qu’interprète Zooey Deschanel, les deux autres larrons fendent progressivement l’armure et révèlent des parcours plutôt tourmentés.
A priori, on serait tenté de les (Nick & Winston) marginaliser, avec leurs postures souvent rigides mais leurs présences sont indispensables car de leurs différences avec les deux allumés (Jess & Schmidt) naît le contraste qui fait tout le piment de cette comédie à part !
Si j’ai choisis d’illustrer ce post avec Max Greenfield (Schmidt), c’est aussi pour lui réserver une mention spéciale.
Zooey Deschanel est une actrice qui est pour beaucoup dans le succès de New Girl, je trouve que son personnage se fait souvent voler la vedette par celui de Greenfield.
Il serait facile de le résumer comme un type au melon extrêmement développé mais il fait le plus souvent preuve d’une naïveté presque touchante et ce d’autant plus qu’il lui arrive des aventures vraiment peu communes (ses relations amoureuses par exemple).
New Girl s’impose progressivement et il est assez réjouissant de voir que son positionnement décalé lui permet tout de même de rencontrer le succès !
Visuel : New Girl / Fox
C’est juste de la balle. Nick et Winston sont aussi très décalés tout de même, ils me font souvent mourir de rire.
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