Once Upon a Time in Wonderland s01e01 « down the rabbit hole »

(ABC) diffusée depuis le 10 octobre
OUaTiW s01e01

Voilà encore une semaine qui devrait me premettre d’évoquer quelques nouveautés de cette rentrée. A commencer par ce Once Upon a Time in Wonderland, un spin-off de la série au même titre initial (diffusée sur M6 de par chez nous) et qui malaxe les comptes de fées.
Comme vous allez pouvoir le découvrir ci-dessous, Wonderland est un bel exemple de perte totale d’objectivité de ma part ! Je n’en suis pas fier et, paradoxalement, c’est avec un certain plaisir que je vous confie ce qui suit !

Alors qu’elle n’était qu’une petite fille, Alice avait découvert un monde étrange en passant par un trou de lapin. De retour dans sa famille, son récit fût mal accueilli et on la confia à de sombres docteurs dans un asile. Désormais jeune femme, elle semble avoir renoncé à ces souvenirs extraordinaires et signe pour un traitement agressif. Mais alors qu’on vient la chercher pour ce qui ressemble à une lobotomie, une ancienne connaissance vient la trouver avec une nouvelle qui va ranimer une lueur d’espoir…


Il n’est sûrement pas nécessaire de vous rappeler qu’Alice aux pays des merveilles est d’abord un roman signé d’un certain Lewis Carroll (c’est un pseudonyme) en 1865 tout de même. L’auteur anglais, mathématicien de formation, était fasciné par l’absurde et son texte a depuis connu de nombreuses adaptations dont récemment un film de Tim Burton par exemple.

Je n’ai pas vraiment suivi la série d’origine (voir mes posts). Je peux donc difficilement prétendre vous définir sa position relative à ce spin-off. Je sais néanmoins que les personnages seront amenés à se croiser (de spossibles crossovers sont sans doute déjà prévus).
Structurellement, Wonderland est très proche de sa parente en cela qu’elle navigue entre univers contemporain et le monde féerique avec son fameux chat du Cheshire ! Il est d’ailleurs intéressant de voir que les scénaristes se sont très vite emparé des éléments distinctifs (le lapin blanc, le chat donc et les champignons géants par exemples) pour bien s’aproprier cet environnement si caractéristique, quitte à détourner certains éléments (le chat étant bien plus malin dans l’oeuvre originale).

Sur le papier, rien ne permet de penser que Wonderland pouvait me séduire outre manière. L’approche similaire des comtes de fées, la mise en scène pompier qui envoie de la couleur et du ciel rose-violet ou bien encore le montage qui ne parvient pas créer le suspense nécessaire.
Oui, seulement voilà, le rôle principal a été confié à Sophie Lowe et ça change tout ! Si, si, tout le reste devient insignifiant et Once Upon a Time in Wonderland s’illumine dès qu’elle apparaît à l’écran (je vous avais prévenu que j’allais perdre tout contrôle…).

Certains d’entre vous ont peut être encore en mémoire sa performance déjà entêtante dans The Slap (la Gifle) diffusée il y a peu sur Arte. Née en angleterre, Sophie Lowe a essentiellement vécu en Australie, où elle a exercé le manequinat avant de réellement faire l’actrice.
Comment vous dire, je ne peux qu’admettre qu’elle possède un physique ensorcelant mais mon admiration a ceci d’irrationnel qu’elle n’est pas principalement dépendante de sa seule apparence. C’est comme si elle exerçait un magnétisme contre lequel je n’aurais aucun moyen de lutter !
Je ne suis pas non plus spécifiquement ébloui par son jeu d’actrice à proprement parlé, d’autant plus qu’elle n’a pas pour l’instant matière à briller dans ce domaine. Non, je dois simplement me rendre à l’évidence et avouer avoir été charmé tout simplement.

Once Upon a Time in Wonderland (ABC) posterLe prochain épisode devient donc une nécessité, non pas parce que la série fait ses preuves dans ce pilote mais bien pour savoir si l’hypnose dite de « Lowe » se poursuit…

Visuels : Once Upon a Time in Wonderland / Kitsis / Horowitz / ABC

6 commentaires sur « Once Upon a Time in Wonderland s01e01 « down the rabbit hole » »

  1. Je ne suis pas fan de la « série-mère », mais je suis curieuse de ce spin-off à cause de la participation de Michael Socha (que j’ai beaucoup apprecié dans Being Human). Je pense que je ne serais pas objective non plus 😉
    merci pour cette chronique, et mes excuses pour les accents, je suis sur un clavier qwerty
    { edit : accents corrigés ;o) }

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  2. Je suis d’accord avec toi sur le fait que Lowe éclaire la série et sans être attirée par l’actrice en tant que telle, je l’aime beaucoup en Alice !
    Et puis l’accent de Michael Socha me fait également perdre pas mal d’objectivité ! 😉

    J’aime

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